Voitures électriques en Algérie – Afin de réduire les émissions de gaz à effet de serre et à promouvoir l’utilisation des énergies renouvelables, le gouvernement Algérien, veut inciter ces citoyens à opter pour les véhicules électriques.
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Voitures électriques en Algérie : L’Etat propose une aide de 20 % aux acheteurs !
En effet, dans le cadre de sa politique énergétique, l’Etat Algérien, en collaboration avec l’APRUE (Agence Nationale pour la Promotion et l’Amélioration de l’Utilisation de l’Énergie), propose aux Algériens :
- Une aide financière pour l’achat de voitures électriques.
En plus, il faut souligner que, cette aide financière, représente :
- 20 % du prix d’achat, plafonne à 450 millions de Dinars Algériens par véhicule.
Ce nouveau projet de loi de gouvernement Algérien est, actuellement en phase d’avant-projet. Il vise en effet, à :
- Inciter les Algériens à opter pour des solutions de mobilité plus durables et respectueuses de l’environnement.
Selon, un expert de l’Agence Nationale pour la Promotion et l’Amélioration de l’Utilisation de l’Énergie (APRUE) :
« L’adoption des véhicules électriques en Algérie ne peut se faire sans un accompagnement adéquat ».
En plus, cette fameuse aide financière, de gouvernement Algérien prévoit de :
- Développer les infrastructures nécessaires.
C’est le cas notamment :
- Des stations de recharge.
- Des centres de maintenance.
De plus, afin d’assurer l’entretien de ces véhicules l’Etat Algérien envisage de :
- Former une main-d’œuvre spécialisée.
Des nouvelles mesures afin de rendre l’adoption de ce type du véhicule plus attractive en Algérie !
En effet, malgré cette aide de 20 %, le coût des voitures électriques en Algérie reste un obstacle pour de nombreux consommateurs.
Ce type de véhicules est encore significativement plus cher que, celle à moteur à combustion interne.
D’ailleurs, selon les estimations, le coût d’un véhicule électrique est environ 30 % à 35 % plus élevés que celui à moteur diesel ou essence.
Néanmoins, le gouvernement Algérien est conscient de ces défis et prévoit donc :
De mettre en place des mesures complémentaires et ce, afin de rendre l’adoption des voitures électriques plus attractive.
Dans ce sillage, un membre du ministère de l’Énergie, précise que :
« Le coût initial de ce type de véhicules est important, mais il ne faut pas négliger les économies réalisées sur le long terme. C’est le cas notamment de coût de carburant ainsi que de maintenance ».
En plus, un point important doit être pris en considération, c’est :
- Le développement des infrastructures de recharge.
En effet, le gouvernement Algérien prévoit :
Non seulement de mettre en place des stations de recharge en nombre suffisant, mais également de faciliter la recharge à domicile ainsi que dans les lieux publics.
Un changement qui doit se faire de manière fluide et efficace !
Le porte-parole de l’Agence Nationale pour la Promotion et l’Amélioration de l’Utilisation de l’Énergie (APRUE) déclare que :
« Nous voyons actuellement que de plus en plus de pays se tourner vers l’utilisation de véhicules électriques. L’Algérie doit suivre cette tendance, elle ne peut pas rester à la traîne ».
En plus il ajoute que :
« Afin que ce changement se fasse de manière fluide et efficace, il est très important de préparer le terrain ».
La transition vers les voitures électriques en Algérie est donc inévitable. En effet, elle s’intègre pleinement dans les politiques nationales de développement durable.
Néanmoins, afin de réussir cette opération et d’éviter des résultats contraires à ceux escomptés. Il est nécessaire de réaliser une étude minutieuse et de bien planifier la mise en place de cette transition.
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